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Auteur/autrice : service communication

Les équipements de Bièvre Isère rouvrent leurs portes

Après une courte pause pour les fêtes de fin d’année, Aqualib’, ainsi que les médiathèques et les bibliothèques intercommunales, rouvrent progressivement leurs portes.

Géré par Bièvre Isère, le centre aquatique et de remise en forme Aqualib’, situé à La Côte Saint-André, est de nouveau accessible à partir du jeudi 2 janvier. De quoi démarrer l’année 2025 du bon pied ! Retrouvez toutes les activités proposées dans les espaces aquatiques, fitness et bien-être, les tarifs et les horaires sur le minisite dédié.

Les médiathèques à Saint-Siméon de Bressieux, Saint-Étienne de Saint-Geoirs et Saint-Jean de Bournay rouvrent aux horaires habituels dès le vendredi 3 janvier. Pour permettre la réalisation de travaux, la médiathèque à La Côte Saint-André accueillera les usagers le 4 janvier, puis uniquement les mercredis et les samedis jusqu’au 18 janvier.

Les bibliothèques intercommunales à Châtonnay, Tramolé et Sainte-Anne sur Gervonde rouvriront le samedi 4 janvier, puis le lundi 6 janvier pour la bibliothèque à Artas, et le mercredi 8 janvier celle à Villeneuve de Marc.

Toute l’actualité du réseau de lecture publique, le calendrier des animations et les horaires des différents équipements sont à retrouver sur le portail des médiathèques.

La plaquette janvier-avril 2025 des animations culturelles du réseau de lecture publique est disponible en version numérique.

La trame d’inconstructibilité levée à Culin grâce à l’action de Bièvre Isère en matière d’assainissement

Gérée par Bièvre Isère, la station d’épuration de Culin va bénéficier de travaux d’extension et de réhabilitation. Cette action de préservation du milieu naturel entreprise par l’intercommunalité a déjà permis de lever la trame d’inconstructibilité qui touchait la commune.

Compétente en matière d’assainissement collectif, Bièvre Isère gère 23 stations d’épuration (STEP) sur son territoire. Ces équipements reçoivent les eaux usées émises par les usagers pour les rejeter ensuite dans le milieu naturel, après une phase de traitement par la communauté de communes.

D’une capacité initiale de 250 équivalents-habitants (EH), la STEP de Culin traite actuellement les effluents de 367 EH. La saturation de cet équipement, de type filtre planté de roseaux, a entraîné la mise en œuvre d’une trame d’inconstructibilité en 2019, imposée par les services de l’État. Celle-ci a été levée lundi 16 décembre, suite à la signature de l’ordre de service de démarrage des travaux.

Pleinement engagée dans la préservation de l’environnement, Bièvre Isère va lancer un chantier d’extension et de réhabilitation du site. Les travaux, assurés par la société SAVEA, permettront d’augmenter la capacité de traitement de la STEP à 650 EH. De plus, 16 panneaux photovoltaïques installés au sol généreront une électricité verte directement consommée par la station. Le surplus d’énergie sera revendu.

Le coût du projet est évalué à 710 000 € HT. Il sera porté par l’intercommunalité, avec le soutien du Département de l’Isère. Une visite du site s’est déroulée vendredi 20 décembre, en présence de Joël Gullon, Président de Bièvre Isère. Il était accompagné par Maurice Debrand, Maire de Culin, et par Jean Papadopulo, Vice-président du Département – Conseiller départemental du canton de L’Isle d’Abeau

Joël Gullon, président de Bièvre Isère, était accompagné notamment par Maurice Debrand, Maire de Culin, et par Jean Papadopulo, Vice-président du Département – Conseiller départemental du canton de L’Isle d’Abeau.

Gérée par Bièvre Isère, la station d’épuration de Culin va bénéficier de travaux d’extension et de réhabilitation. Cette action de préservation du milieu naturel entreprise par l’intercommunalité a déjà permis de lever la trame d’inconstructibilité qui touchait la commune.

Compétente en matière d’assainissement collectif, Bièvre Isère gère 23 stations d’épuration (STEP) sur son territoire. Ces équipements reçoivent les eaux usées émises par les usagers pour les rejeter ensuite dans le milieu naturel, après une phase de traitement par la communauté de communes.

D’une capacité initiale de 250 équivalents-habitants (EH), la STEP de Culin traite actuellement les effluents de 367 EH. La saturation de cet équipement, de type filtre planté de roseaux, a entraîné la mise en œuvre d’une trame d’inconstructibilité en 2019, imposée par les services de l’État. Celle-ci a été levée lundi 16 décembre, suite à la signature de l’ordre de service de démarrage des travaux.

Pleinement engagée dans la préservation de l’environnement, Bièvre Isère va lancer un chantier d’extension et de réhabilitation du site. Les travaux, assurés par la société SAVEA, permettront d’augmenter la capacité de traitement de la STEP à 650 EH. De plus, 16 panneaux photovoltaïques installés au sol généreront une électricité verte directement consommée par la station. Le surplus d’énergie sera revendu.

Le coût du projet est évalué à 710 000 € HT. Il sera porté par l’intercommunalité, avec le soutien du Département de l’Isère. Une visite du site s’est déroulée vendredi 20 décembre, en présence de Joël Gullon, Président de Bièvre Isère. Il était accompagné par Maurice Debrand, Maire de Culin, et par Jean Papadopulo, Vice-président du Département – Conseiller départemental du canton de L’Isle d’Abeau

Les principales délibérations votées au conseil communautaire du 16 décembre

Les élus de Bièvre Isère se sont réunis en conseil communautaire lundi 16 décembre, au siège de la collectivité, à Saint-Étienne de Saint-Geoirs. L’ordre du jour comportait 66 délibérations.

Modification de l’intérêt communautaire en matière de Petite Enfance et de Santé

Compétente en matière de Petite Enfance et de Santé sur son territoire, Bièvre Isère modifie ses « compétences d’intérêt communautaire » en « actions sociales d’intérêt communautaire ».

Concernant la Petite enfance, cette évolution résulte de la promulgation de la loi pour le plein emploi. Celle-ci confie l’accueil du jeune enfant aux communes dès 2025. Or, Bièvre Isère, comme de nombreuses intercommunalités, structure et assure déjà ce service sur son territoire, en accord avec ses 50 communes membres. Cette évolution du statut, qui fait de Bièvre Isère une « Autorité organisatrice », consolide le fonctionnement, la lisibilité et l’action auprès des familles. Le Relais Petite Enfance, situé à La Côte Saint-André et à Saint-Jean de Bournay, poursuivra sa mission d’accompagnement des familles, des assistants maternels et des futurs professionnels de l’accueil à domicile. L’intercommunalité garantira le fonctionnement, la construction et la rénovation des crèches.

En matière de Santé, l’évolution en action sociale d’intérêt communautaire donne à Bièvre Isère la possibilité de mener jusqu’à leurs termes le Contrat Local de Santé et un Conseil Local de Santé Mentale, en lien avec l’Agence Régionale de Santé. Actuellement en phase de comité de pilotage, ces dispositifs ont pour objectif de livrer un inventaire complet des problématiques spécifiques au territoire. Cette connaissance précise des besoins des habitants permettra à la collectivité d’engager les actions nécessaires pour répondre aux défis actuels et futurs.

Raccordement au réseau d’assainissement de Vienne Sud

Bièvre Isère, Vienne Condrieu Agglomération, la commune de Charantonnay et les services de l’État travaillent au projet de raccordement de huit communes (Beauvoir de Marc, Châtonnay, Meyrieu les Étangs, Royas, Savas-Mépin, Saint-Jean de Bournay, Sainte-Anne sur Gervonde, ainsi que Charantonnay) au réseau d’assainissement de Vienne Sud. Ce projet, évalué à 27,4 millions d’euros, prévoit la pose de 32 kilomètres de canalisations, la construction de sept postes de refoulement, la conversion de deux stations d’épuration en bassins d’orages, la création de deux nouveaux bassins, ainsi que la suppression et la remise en état des terrains de quatre lagunes naturelles. Les travaux s’étaleront sur quatre ans, de 2025 à 2028.

Le projet a été présenté lundi 9 décembre lors d’un point presse, organisé à la maison de l’intercommunalité, à Saint-Jean de Bournay. À cette occasion, l’ordre de service de démarrage des travaux a été signé, entraînant la levée de la trame d’inconstructibilité qui touchait cinq communes du territoire : Beauvoir de Marc, Châtonnay, Meyrieu les Étangs, Saint-Jean de Bournay et Sainte-Anne sur Gervonde.

Lors du conseil communautaire, les élus ont voté en faveur d’un avenant au marché de maîtrise d’œuvre, confié au groupement Cabinet Merlin – Alp’études – EURYECE – Atelier AA – CPGF Horizon. En effet, au cours du projet, Bièvre Isère a souhaité apporter des modifications au dossier, afin d’optimiser les coûts et de réaliser des économies. Ces changements ont nécessité la reprise des études par le groupement d’entreprises. Les optimisations proposées (changement de matériaux, passage sur des domaines privés, modifications des tracés…) ont permis de réaliser une économie d’environ 2 millions d’euros.

Les travaux d’assainissement menés vont offrir la possibilité à une centaine d’habitations de se raccorder au nouveau réseau de transit. Au cours de la séance, les élus du conseil communautaire ont approuvé la tarification des coûts de branchement à 1 883,48 €. Ce tarif correspond aux montants des travaux à effectuer, à la déduction des subventions obtenues, ainsi qu’aux frais de gestion.

Par ailleurs, les efforts réalisés ces derniers mois par Bièvre Isère en matière de mise en conformité des équipements d’assainissement collectif ont permis de lever les trames d’inconstructibilité qui touchaient les communes de Roybon, Villeneuve de Marc et Culin. Au total, la trame d’inconstructibilité a été levée sur huit communes de Bièvre Isère.

Réhabilitation de la station d’épuration de Roybon

Toujours en matière d’assainissement, Bièvre Isère souhaite engager des travaux de mise en
conformité de sa station d’épuration de Roybon, afin de diminuer l’impact des rejets dans le milieu naturel. Cette lagune est arrivée à saturation. Dimensionnée pour traiter les effluents de 360 équivalents-habitants (EH), elle reçoit actuellement les eaux usées de 485 EH.

La commission d’appels d’offres a retenu le groupement d’entreprises Serpol – GMTP – Charvet pour effectuer le chantier à Roybon, d’un montant avoisinant 1 million d’euros.

Collecte et valorisation des déchets

Bièvre Isère est compétente en matière de collecte des déchets ménagers et recyclables sur son territoire. Pour conserver la maîtrise des coûts et pour contribuer activement à la protection de l’environnement, l’intercommunalité a engagé une transition progressive du mode de collecte des déchets ménagers en apport volontaire, comme c’est déjà le cas pour les déchets recyclables (plastique, métal, carton, papier, verre…).

Pour réaliser cette évolution, qui s’échelonne entre 2024 et 2025, Bièvre Isère réalise un investissement de plus de 9 millions d’euros, dont près de 3 millions d’euros destinés l’achat des nouveaux conteneurs.

Pour mener à bien ce projet, la communauté de communes reçoit l’aide financière de l’éco-organisme LEKO, d’un montant de près de 215 000 euros.

Parallèlement, Bièvre Isère et les autres collectivités qui adhèrent au Syndicat mixte de collecte et de traitement des ordures ménagères (Smictom) de la Bièvre signent une convention de reversement des soutiens des éco-organismes et des recettes liées à la vente des matériaux recyclables. Ce mécanisme permettra à l’intercommunalité de percevoir directement 450 000 € de soutien de LEKO, et 250 000 € pour la vente des matériaux recyclés.

Aide à la rénovation de logements et à la création d’un habitat inclusif

En agissant sur l’habitat, Bièvre Isère consolide l’attractivité du territoire et améliore le cadre de vie des habitants. L’intercommunalité accompagne les communes, les propriétaires et les bailleurs sociaux dans leurs projets de rénovation énergétique. Cet engagement concerne également la réhabilitation des habitations dégradées, dans le but d’un retour sur le marché locatif. Pour la communauté de communes, il s’agit de lutter contre la pénurie de logements qui touche le territoire.

Le bailleur social Alpes Isère Habitat sollicite le soutien financier de Bièvre Isère pour la réalisation de trois chantiers de réhabilitation, concernant un total de 23 logements : six à Châtenay (travaux évalués à 292 000 €), treize à Marcilloles (270 000 €) et quatre à Plan (134 000 €). À la suite des travaux, les logements afficheront, à minima, une classe énergétique D (voire C ou B pour les habitations à Plan et à Marcilloles).

Bièvre Isère accorde un total de 40 000 € de subventions pour soutenir ces opérations.

À Gillonnay, le bailleur social « Un toit pour tous – Développement » souhaite réhabiliter un corps de ferme pour le transformer en quatre logements accessibles aux personnes à mobilité réduite. Cédé au bailleur par l’association Le bercail paysan, cet habitat inclusif appelé « La maison du bercail » complétera l’accueil à la journée des personnes en situation de handicap mental par la structure, sur l’exploitation agricole.

Ce projet spécifique entre dans la logique de redynamisation des centres-bourgs voulue par l’intercommunalité. Conformément au règlement d’attribution des aides financières, la communauté de communes accorde une subvention de 32 000 €.

Raccordement au réseau d’assainissement de Vienne Sud :Le projet lancé et la trame d’inconstructibilité levée

Bièvre Isère Communauté, Vienne Condrieu Agglomération, la commune de Charantonnay, le Département de l’Isère et les services de l’État travaillent sur le raccordement des effluents de huit communes au système d’assainissement de Vienne Sud. Ce projet de mise en conformité permet de lever la trame d’inconstructibilité qui touchait cinq communes du territoire.

Consciente des problématiques liées à la non-conformité du réseau d’assainissement collectif au nord de son territoire, Bièvre Isère a amorcé en 2018, avec Vienne Condrieu Agglomération, la commune de Charantonnay, le Département de l’Isère et les services de l’État, un vaste projet de raccordement des eaux usées à la station d’épuration de Vienne Sud. Impulsé à nouveau en 2022 par Joël Gullon, le programme des travaux a été présenté lundi 9 décembre, lors d’un point presse.

L’événement était organisé à la Maison de l’intercommunalité, à Saint-Jean de Bournay, à l’invitation de Joël Gullon, Président de Bièvre Isère, de Thierry Kovacs, Président de Vienne Condrieu
Agglomération, de Pierre-Louis Orelle, Maire de Charantonnay, de Denis Mauvais, Sous-préfet de Vienne, et Claire Debost, Conseillère départementale. De nombreux élus, personnalités du territoire et représentants des entreprises chargées de la réalisation des travaux étaient également présents.

À cette occasion, l’ordre de service de démarrage des travaux a été signé, entraînant la levée de la trame d’inconstructibilité qui touchait les communes de Beauvoir de Marc, Châtonnay, Meyrieu les Étangs, Saint-Jean de Bournay et Sainte-Anne sur Gervonde depuis plusieurs années. À noter que ce projet a fait l’objet d’une enquête publique, menée du 24 juin au 24 juillet 2024. Durant cette période, les habitants ont pu consulter le dossier et faire part de leurs observations. Le public a également été convié à deux réunions, organisées le 26 juin à Moidieu-Détourbe et le 3 juillet à Châtonnay. À l’issue de la procédure, le commissaire enquêteur émis un avis favorable à la réalisation du projet.

Préserver la ressource en eau

Ce projet de raccordement des eaux usées résulte de la non-conformité des infrastructures actuelles. En effet, les lagunes de Beauvoir de Marc, Charantonnay, Meyrieu les Étangs et Royas, ainsi que les stations d’épuration (STEP) de Châtonnay, Savas-Mépin et Saint-Jean de Bournay, toutes mises en service entre les années 1970 et 1990, sont arrivées à saturation ou en surcharge hydraulique.

En 2018, face à l’impossibilité de réhabiliter les équipements, Bièvre Isère, Vienne Condrieu Agglomération et la commune de Charantonnay, située sur le territoire de la communauté de communes des Collines du Nord Dauphiné, ont lancé, en relation avec les services de l’État, l’étude pour le raccordement à la station d’épuration de Vienne Sud, basée à Reventin-Vaugris. Mise en service en 1995, la STEP a bénéficié de travaux d’extension et de modernisation entre 2013 et 2017. Avec une capacité de traitement de 125 000 équivalents-habitants (EH), elle peut recevoir sans difficulté les effluents des huit communes supplémentaires, soit environ 15 000 EH.

La réalisation de ce projet permettra de mettre à l’arrêt les STEP et les lagunes non-conformes, diminuant ainsi l’impact des rejets dans le milieu naturel.

Plus de 27 millions d’euros investis

Le montant total des travaux est évalué à 27,4 millions d’euros :
– 22 M€ investis par Bièvre Isère, dont 4,8 M€ de subventions de l’Agence de l’Eau et 1,8 M€ du Département de l’Isère
– 2,2 M€ investis par Charantonnay
– 3,2 M€ investis par Vienne Condrieu Agglomération

Les travaux s’étaleront jusqu’en 2028. Prévue au premier semestre 2025, la pose de canalisations à Moidieu-Détourbe marquera le coup d’envoi du chantier.

Le projet prévoit la pose ou la réhabilitation de plus de 32 kilomètres de canalisations. Les STEP de Saint-Jean de Bournay et de Châtonnay seront transformées en bassins d’orage et un troisième bassin sera construit à Royas. Ces trois infrastructures seront en capacité de stocker jusqu’à 1 300 mètres cubes d’eau. Les lagunes naturelles de Charantonnay, Beauvoir de Marc, Royas et Meyrieu les Étangs seront supprimées et leurs terrains seront remis dans leur état d’origine.

Un autre ouvrage de stockage sera réalisé sur le territoire de Vienne Condrieu Agglomération et sept postes de refoulement seront construits sur l’ensemble du réseau.

Ce projet est le fruit d’un travail partenarial intense depuis trois ans avec tous les acteurs dans le cadre d’un comité de pilotage où les services et opérateurs de l’État (DREAL, DDT, Agence de l’eau…) coordonnés par le sous-préfet de Vienne ont accompagné les collectivités et leurs équipes dans un travail exigeant et complexe.

Les entreprises locales Guillaud TP, Gachet TP, BTP Charvet, ainsi que SADE, ont remporté les
appels d’offres. Elles interviendront sur les différents chantiers jusqu’en 2028.

Participez au Prix des lecteurs de Bièvre Isère !

La quatrième édition du Prix des lecteurs de Bièvre Isère est ouverte ! Jusqu’au 29 mars 2025, les habitants du territoire sont invités à lire les cinq romans sélectionnés, puis à voter pour leur ouvrage favori.

Pour la quatrième année de suite, l’intercommunalité invite les lecteurs Bièvre Isérois à participer au Prix des lecteurs de Bièvre Isère. Pour participer, il suffit de se rendre dans l’une des quatre médiathèques ou des vingt bibliothèques du réseau de lecture publique pour emprunter et lire les cinq romans sélectionnés :

  • Du même bois de Marion Fayolle
  • Kintsugi d’Isabel Gutierrez
  • Le diplôme d’Amaury Barthet
  • Je réveillerai les couleurs du bonheur de Julien Aime
  • Les mots nus de Rouda

Une fois les romans lus, les lecteurs n’ont plus qu’à désigner leur ouvrage préféré sur le portail des médiathèques. Ils ont également la possibilité de voter dans l’un des 24 points du réseau de lecture publique, en glissant dans l’urne le bulletin fourni avec le programme du Prix des lecteurs.

Le vainqueur sera annoncé après la clôture des votes, dont la date est fixée au samedi
29 mars 2025.

Une sélection BD pour les jeunes lecteurs

Cette année, la Communauté de communes renouvelle pour une deuxième édition le Prix jeunesse BD qui s’adresse aux enfants et aux adolescents.

Les lecteurs de 8 à 12 ans ont jusqu’au mois de mars 2025 pour élire leur bande dessinée préférée parmi les six sélectionnées :

  • Marshmallow et Jordan de Alina Chau
  • Petits Dieux de Salvia Krystel
  • Léonarde de Isabelle Bauthian et Anne-Catherine Ott
  • Les enfants de l’arbre de Thierry Gaudin et Romain Ronzeau
  • Les racontages de M’sieu Perrault de Léon Pog
  • Sven et Tanka de Benjamin Follet

Plus de 200 000 documents accessibles

Bièvre Isère s’engage à rendre la culture accessible à tous ses habitants. Grâce à son réseau de lecture publique, l’intercommunalité propose plus de 200 000 documents (livres, CD, DVD, partitions et même instruments de musique) dans ses 24 points de lecture. Un système de navette permet aux usagers de réserver leurs documents et de les retrouver dans la médiathèque ou dans la bibliothèque la plus proche.

L’adhésion annuelle est fixée à 12 euros par famille. Cette adhésion permet aux usagers d’avoir accès aux milliers de ressources numériques mises en ligne par la médiathèque départementale.

Toutes les informations pratiques, ainsi que le règlement du Prix des lecteurs, sont à retrouver sur le portail des médiathèques.